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LES FEMMES ET LES ENFANTS SONT LES PREMIÈRES VICTIMES DU MANQUE DE PERSONNEL MÉDICAL QUALIFIÉ. LA RÉDUCTION DE LA MORTALITÉ MATERNELLE PASSE PAR LA PROFESSIONNALISATION DU PERSONNEL SOIGNANT DONT LE NIVEAU DE FORMATION CONTRIBUE À LA QUALITÉ DES SOINS.
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COMORES
LA MORBI-MORTALITÉ EST UN FLÉAU
Depuis 2002, l’ADSF mène aux Comores des activités destinées à améliorer la santé des femmes et la qualité des soins en gynécologie obstétrique.
En 2000, la mortalité maternelle aux Comores était de 590 décès pour 100 000 naissances. La mortalité infantile avant 5 ans était particulièrement élevée aussi à cause de la malnutrition et de manque de soins.
Nous avons apporté une plateforme de solutions :
• Développement des procédures d’hygiène dans les centres de santé de M’beny et M’vuny, en Grande Comore,
• Contribution à la création de l’association Nationale des sages-femmes comoriennes,
• Création d’un partenariat avec l’ONG Initiative Développement, sur l’île d’Anjouan.
• Amélioration des pratiques médicales dans la maternité de l’hôpital de référence des Comores, El Maarouf de Moroni,
• Formation des sages-femmes en partenariat avec l’Ecole Nationale de Santé des Comores.
Nos volontaires expatriés ont travaillé en partageant leur savoir le plus souvent dans des structures médicales ainsi qu’à l’Ecole de Médecine et de Santé Publique, sur des périodes allant de plusieurs semaines à plusieurs mois.
Grâce à l’aide du Conseil Général de Seine-Saint-Denis nous pouvons poursuivre notre lutte contre la surmortalité infantile liée à la malnutrition en formant des professionnels de santé sur le thème de l’allaitement maternel.