En cette journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) a choisi de mettre en lumière les enjeux relatifs à la santé mentale des femmes en situation de grande précarité, et les liens que cette question entretient avec celle des violences sexistes et sexuelles.
L’entretien qui suit a été réalisé auprès de l’association l’ADSF – Agir pour la santé des femmes – qui vise à améliorer la prise en charge et l’état de santé globale des femmes en situation de grande exclusion en organisant des actions favorisant leur accès à des soins adaptés à leur genre et à leur parcours de vie, à travers des maraudes et au sein de ses accueils de jour parisien et lillois. Dahlia Stern, psychologue à l’ADSF, a répondu à nos questions.
